Pour la beauté du geste

(...) Avec une vingtaine d’ouvrages, Georges nous laisse une œuvre disparate allant du recueil poétique classique au plus pur O.V.N.I. éditorial. Poète « inclassable », il se définissait lui-même comme « a&de métropolitain cacophonique méta/Ionien & crypto Dada » (tout un programme), s’auto-proclamant volontiers « le dernier des polysémiques ». Virtuose du poème philosophico-politique à tiroirs, empileur de haïkus aussi déjantés qu’engagés, adepte de la performance poétique improvisée et du ready-made verbal, Georges était aussi — on l’oublie trop souvent — un poète élégiaque. (…)

Stéphane Juranics,
janvier 2019.

Extrait du texte « Pour la beauté du geste » figurant dans le n°6 de la revue Rumeurs
paru en mai 2019.















Extraits de courriers à propos d« Pour la beauté du geste »

« Merci beaucoup pour ce très beau texte en hommage à Georges, Stéphane. Complet. Juste. À son image, inclassable… »
Thierry Renard, 5 février 2019.

« Ton texte est magnifique. Et la référence à Diogène est un tel compliment que Georges lui-même en aurait été fier. (…) Je l’ai transféré à Carol, la fille aînée de Georges, elle aussi a beaucoup aimé et se demandait comment tu connaissais aussi bien son père ! »
Régine Chopin, compagne de Georges Hassomeris, 12 février 2019.

« Il y a tout dans ce texte, de la philosophie à l'humour et l'amour. Un bel hommage. »
André Blatter, 6 mars 2019.